Semaine de
4 jours:
notre retour
d’expérience

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Et si on testait de nouvelles façons de travailler ?

Depuis janvier, Magellim Développement expérimente la semaine de 4 jours… une semaine sur deux ! Alors quel bilan 6 mois plus tard ?

Une expérimentation graduelle appréciée

Pour Vincent de La Varende, Directeur du pôle Habitat, le fait de tester ce nouveau rythme une semaine sur deux était une bonne intuition : J’avais entendu parler de la semaine de quatre jours et j’étais très enthousiaste à l’idée que Magellim Développement soit précurseur sur le sujet mais je me demandais tout de même si nous aurions le temps de faire tout ce que nous avons à faire ! Aujourd’hui, je peux dire que j’apprécie vraiment cette respiration une semaine sur deux, qui nous permet d’être à fond le reste du temps.”
Caroline Lo, qui a rejoint l’entreprise en février en tant que Responsable de programmes immobiliers, partageait cette curiosité : “J’étais intriguée par cette autre façon de travailler et donc ravie de la mettre en pratique dans mon nouveau poste”.

Un plus pour l’équilibre vie pro/vie perso

Avec quelques mois de recul, Caroline Lo apprécie ce week-end qui commence plus tôt: “pour l’instant, j’en profite surtout pour me décharger de certaines tâches du quotidien. Cela me permet de planifier des week-ends en famille ou tout simplement de déjeuner avec mon fils le midi et d’aller le chercher à l’école”. Vincent de La Varende reconnaît aussi profiter de la faible affluence dans les magasins le vendredi et de départs en week-end anticipés mais résume : “le principal avantage, c’est la liberté d’organisation. C’est une journée non travaillée, sans compte à rendre. Il m’arrive d’échanger rapidement par téléphone ou par mail pour débloquer une situation mais c’est moi qui évalue le degré d’urgence”.

Qu’est-ce que la semaine de 4 jours a changé ?

“Pour nos interlocuteurs externes, pas grand chose”, s’amuse Vincent de La Varende. “Certains n’ont même pas conscience que nous testons ce dispositif”, confirme Caroline Lo. Tous deux se disent satisfaits de cette expérimentation tout en reconnaissant que les journées de travail lors de la semaine à 4 jours peuvent parfois être plus chargées que les autres. “Mais l’équilibre est là”, indique Caroline Lo, “et j’ai préféré prendre mon poste en voyant mes collègues tous les jours [sauf un vendredi sur deux] que d’intégrer une structure qui pratique le full-télétravail”.